Lorsque l’on perd quelqu’un de proche, la personne endeuillée s’installe dans un vide. Elle passe par des phases de colère, de révolte, de culpabilité, de dépression, avec du chagrin, des crises de larmes… Tout cela est éprouvant physiquement et psychologiquement.
[toc]
Comment gérer l’absence et prendre un nouveau départ ?
La société a du mal à reconnaître la souffrance de ceux qui vivent la perte d’un proche. Être attentif à l’autre pour apaiser la douleur et accepter la violence de cette douleur n’est pas toujours facile pour l’entourage qui parfois souffre aussi.
Bien sûr le temps est nécessaire, un temps qui n’est pas le même pour tout le monde. On peut aussi aller à la rencontre d’autres veufs ou veuves et s’apercevoir que malgré la souffrance une envie de vivre renaît.
L’Église propose bien sûr des rituels. Il y a les funérailles, un rituel très fort qui aide les vivants à entourer le mort avant de se séparer de lui.
Les chrétiens croient dans la vie après la mort (voir dans l’article sur les fêtes à Pâques, la notion de passage de la vie à la mort (en hébreu ils appellent cela la pessah)…).
Le temps du deuil
Émission de Béatrice Soltner
Pour en savoir plus
Des associations
- Espérance et vie, Mouvement chrétien pour aider dans les premières années du veuvage.
- La Favec, N°vert ;0800005025.
- Vivre son deuil
- Apprivoiser l’absence (deuil d’un enfant).
- Jonathan pierres vivantes (parents en deuil).
- Agapa (décès d’un bébé).
- Le pèlerin, centre d’accompagnement.
Des livres
- L’un sans l’autre de MF Bacqué, éd Larousse.
- Faut-il faire son deuil ? – éd Autrement.
- Sur le chagrin et sur le deuil de E Kübler-Ross et D kessler, éd JC Lattès.
- Face à la mort, comment se reconstruire ? – éd Bayard.